L'actualité de l'écologie
Lien du site : http://www.eco-life.fr
Notre blog d’actualité et d’information est orienté vers l’écologie et les thèmes connexes.
Il existe maintenant un consensus scientifique sur la crise écologique notamment concernant la biodiversité et le réchauffement climatique.
Toute personne intellectuellement honnête et bien informée connaît les modifications profondes que l'homme inflige au climat. Depuis bien longtemps déjà quelques écologistes (René Dumont 1974) et scientifiques tirent la sonnette d'alarme. Le constat actuel, soulevant l’ unanimité scientifique est :
Le réchauffement climatique est une expérience totalement inédite dans l'histoire de l'humanité de part son ampleur et sa rapidité.
L'homme est à plus de 90 % responsable de cette crise.
La terre est un système non-linéaire, ce qui veut dire que de petites modifications peuvent provoquer de grand effets irréversibles (disparition du Gulf-stream, emballement brusque du réchauffement...). Les hypothèses les plus catastrophiques (montée de 30 m des océans) sont donc probables, ce que reconnaît le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) tout en ne retenant que les hypothèses les meilleures...
Moins nous relâcherons de gaz à effet de serre, moins les conséquences se feront sentir.
Les conséquences de ce réchauffement sont assez imprévisibles à l'échelle régionale (puissance de calcul informatique insuffisante) mais les modèles permettent de prédire à l’échelle de la planète les grandes évolutions. ( immersion de terres, sécheresse...).
Les conséquences géopolitiques ( maladies, exode, conflits) seront très importantes. Signalons qu' Al Gore et le GIEC ont obtenu le prix Nobel de la paix 2007 pour avoir éveillé les consciences sur les risques encourus.
Un point positif : le problème est parfaitement connu des scientifiques : on sait que tant de tonnes de Co2 non émis ou fixé correspond à x degré de réchauffement évité.
Le rapport Stern
Le rapport de Stern, économiste, vice-président senior de la Banque Mondiale, envisage, voir chiffre, les conséquences économiques, sociales et politiques de cette crise climatique. La conclusion est édifiante : si l'on ne fait rien, l' impact économique sera comparable à celui des 2 dernières guerres mondiales ou à la crise économique de 1929.
1% du PIB investi maintenant suffirait à fortement atténuer les effets du changement climatique. En revanche ne rien faire pourra entraîner une récession allant jusqu'à 20% du PIB mondial.
L'origine scientifique du developpement. durable
Un être vivant est composé d'organes en interaction. Tous ont une finalité commune : le maintien de la vie. Que la température de l'organisme monte, des rétroactions négatives refroidissent l'organisme.
James Lovelock, grand scientifique, avance l'hypothèse dite "hypothèse Gaia" que la terre fonctionne ainsi. Des rejets raisonnables de CO2 ne modifieraient donc pas les conditions atmosphériques. Cette approche systémique légitimerait le concept du développement durable.
Mais dans son dernier ouvrage " la revanche de Gaia" paru en 2007, Lovelok, alarmiste, considère que nous basculons dans l'irréversible. Par analogie avec le vivant, la terre:
« a de la fièvre » (émissions massive de gaz à effet de serre)
« est victime de surinfections » (relargage des stocks de carbone de la toundra...)
« les auto-défensese l'organisme » sont en berne (l'océan absorbe moins de CO2...)
Il conclue que les travaux scientifiques sous -estiment grandement la menace climatique, en prenant insuffisamment en compte ces multiples rétroactions positives.
Notre blog d’actualité et d’information est orienté vers l’écologie et les thèmes connexes.
Il existe maintenant un consensus scientifique sur la crise écologique notamment concernant la biodiversité et le réchauffement climatique.
Toute personne intellectuellement honnête et bien informée connaît les modifications profondes que l'homme inflige au climat. Depuis bien longtemps déjà quelques écologistes (René Dumont 1974) et scientifiques tirent la sonnette d'alarme. Le constat actuel, soulevant l’ unanimité scientifique est :
Le réchauffement climatique est une expérience totalement inédite dans l'histoire de l'humanité de part son ampleur et sa rapidité.
L'homme est à plus de 90 % responsable de cette crise.
La terre est un système non-linéaire, ce qui veut dire que de petites modifications peuvent provoquer de grand effets irréversibles (disparition du Gulf-stream, emballement brusque du réchauffement...). Les hypothèses les plus catastrophiques (montée de 30 m des océans) sont donc probables, ce que reconnaît le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) tout en ne retenant que les hypothèses les meilleures...
Moins nous relâcherons de gaz à effet de serre, moins les conséquences se feront sentir.
Les conséquences de ce réchauffement sont assez imprévisibles à l'échelle régionale (puissance de calcul informatique insuffisante) mais les modèles permettent de prédire à l’échelle de la planète les grandes évolutions. ( immersion de terres, sécheresse...).
Les conséquences géopolitiques ( maladies, exode, conflits) seront très importantes. Signalons qu' Al Gore et le GIEC ont obtenu le prix Nobel de la paix 2007 pour avoir éveillé les consciences sur les risques encourus.
Un point positif : le problème est parfaitement connu des scientifiques : on sait que tant de tonnes de Co2 non émis ou fixé correspond à x degré de réchauffement évité.
Le rapport Stern
Le rapport de Stern, économiste, vice-président senior de la Banque Mondiale, envisage, voir chiffre, les conséquences économiques, sociales et politiques de cette crise climatique. La conclusion est édifiante : si l'on ne fait rien, l' impact économique sera comparable à celui des 2 dernières guerres mondiales ou à la crise économique de 1929.
1% du PIB investi maintenant suffirait à fortement atténuer les effets du changement climatique. En revanche ne rien faire pourra entraîner une récession allant jusqu'à 20% du PIB mondial.
L'origine scientifique du developpement. durable
Un être vivant est composé d'organes en interaction. Tous ont une finalité commune : le maintien de la vie. Que la température de l'organisme monte, des rétroactions négatives refroidissent l'organisme.
James Lovelock, grand scientifique, avance l'hypothèse dite "hypothèse Gaia" que la terre fonctionne ainsi. Des rejets raisonnables de CO2 ne modifieraient donc pas les conditions atmosphériques. Cette approche systémique légitimerait le concept du développement durable.
Mais dans son dernier ouvrage " la revanche de Gaia" paru en 2007, Lovelok, alarmiste, considère que nous basculons dans l'irréversible. Par analogie avec le vivant, la terre:
« a de la fièvre » (émissions massive de gaz à effet de serre)
« est victime de surinfections » (relargage des stocks de carbone de la toundra...)
« les auto-défensese l'organisme » sont en berne (l'océan absorbe moins de CO2...)
Il conclue que les travaux scientifiques sous -estiment grandement la menace climatique, en prenant insuffisamment en compte ces multiples rétroactions positives.